Ep#2 - Edwige
Une luciole qui nous parle de résilience




Si n’avez pas entendu mon premier podcast que j’ai nommé préface, je vous remets un peu dans le contexte avant de vous présenter Edwige. Finalement c’est vrai, on a toujours quelques mots à dire avant de se lancer dans le vif du sujet… une préface dans un livre mais aussi pour un podcast. Dans cette préface, j’étais contente de partager avec vous les raisons pour lesquelles j’ai lancé ce projet, mon manifesto et tout ce qui m’anime.
Dans cette même préface (en fait, ce serait quand même cool que vous l’écoutiez 😉 ), j’ai parlé de 3 groupes de personnes, et le groupe 3, ce sont les lucioles. Elles ont une aura particulière. Elles brillent, elles rayonnent, ce sont des petites boules de lumière, elles donnent ou redonnent espoir. Mais on est toutes au fond de nous des lucioles, parfois on brille plus, parfois on brille moins. Des circonstances, des moments de la vie, des jours avec et des jours sans. On brille dans notre foyer ou on brille de manière plus large, en se mettant au service des autres par exemple. On brille toutes à notre manière.
Et finalement ce n’était pas vraiment 3 groupes de personnes mais plutôt 3 états par lesquels on passe dans la maladie ou dans tout événement difficile de la vie, et on peut même passer d’un état à un autre en une heure, une minute. Je suis sûre que vous voyez très bien ce que je veux dire. Colère, révolte, peur, tristesse, joie, espoir, bonheur, déprime, … La vie quoi, tout simplement avec ses hauts et ses bas, ses joies et ses peines. Je dis toujours joies et peines, petit couple d’affects indissociable unis pour la vie. Ces hauts et ces bas, Edwige, la luciole que j‘accueille aujourd’hui, les compare aux mouvements d’un yoyo.
Très vite après avoir créé mon groupe de soutien nommé Cancer, je gère, elle nous a rejoint.
Allez zou, à vos casques et je vous laisse découvrir le témoignage positif et plein d’espoir de cette luciole, ce petit soldat rose, cette battante avec le sourire, cette nana dont le verre est toujours à moitié plein mais elle ne nie en rien les difficultés rencontrées pendant son combat contre le cancer du sein.
Bonne écoute les princesses et guerrières que vous êtes.

Les remerciements d'Edwige...





